- C’est nous aider pour nous accompagner dans notre ambitieux projet de rénovation du site historique de Montier en Der,
- C’est proposer des prestations d’accueil, d’hébergement et d’activités de qualité, à destination des enfants et des adolescents porteurs de handicap et / ou en difficulté sociale,
- C’est s’inscrire dans la durée de son œuvre et de son objet social qui est forte de son histoire et de son expérience acquise depuis plus d’un siècle.
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• Réduction d’impôt article 238 bis du CGI : 60% des versements pris dans la limite d’un plafond unique de 5p. Mille de votre chiffre d’affaires hors taxes.
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Dans son testament, Madame Vve Auguste LEBON écrit :
"La maison que j’ai fait construire à Montier en Der ne sera ni louée ni vendue. Il y sera établi un orphelinat pour les petites filles pauvres nées dans la commune de Montier en Der. Cet orphelinat sera placé sous le patronage de Sainte Lucie... On y élèvera les orphelines... Chaque jour, trois heures seront consacrées à l’étude de la lecture, de l’écriture de la langue française et du calcul... et par-dessus tout on s’appliquera à leur enseigner les devoirs moraux et religieux ainsi que le respect que l’on se doit à soi-même, afin qu’elles deviennent d’honnêtes filles".
Le 19 avril 1898, l’orphelinat Sainte Lucie devient une Fondation reconnue d’Utilité publique par décret du conseil d’État. De 1898 à 1929, l’établissement a fonctionné normalement, en hébergeant des orphelines.
À partir de 1929, le nombre des orphelines étant pratiquement nul, l’établissement s’est orienté vers l’accueil d’enfants "chétifs, ou élevés dans des milieux douteux". Son fonctionnement ressemblait alors à un préventorium. Les ressources étaient alors assurées essentiellement par des subventions du bureau de bienfaisance de la ville de Montier en Der.
Le 22 octobre 1954, les religieuses font savoir au Conseil d’Administration qu’elles se retirent de l’orphelinat. Le Conseil d’Administration décide de fermer l’orphelinat au 31 décembre 1954. Le 24 janvier 1955, le Président demande à la préfecture pour recevoir des enfants déficients mentaux (filles de préférence). À la demande du Président, l’oeuvre change de nom et s’appelle : Colonie Sainte-Lucie, puis immédiatement après Fondation Sainte-Lucie.
Dans sa réunion du 21 novembre 1958, le Conseil demande à la Caisse Régionale d’assurance maladie un agrément définitif pour recevoir des enfants déficientes intellectuelles jusqu’à 21 ans. La Fondation prend ainsi la désignation d’Institut Médico-Pédagogique et Professionnel.
En 1980, l’établissement est agréé pour recevoir des garçons de 6 à 14 ans. La mixité est alors installée.
En janvier 1994, afin d’assumer son caractère privé, sa qualité et sa fonction laïques, la Fondation Sainte Lucie devient Fondation Lucy Lebon par décision du Ministère de l’Intérieur.
La Fondation Lucy Lebon modifie ses statuts. Le Préfet de la Haute-Marne est désigné Commissaire du Gouvernement par le Ministère de l’Intérieur pour siéger au Conseil d’Administration de la Fondation Lucy Lebon.
Une célébration et une mise à l’honneur de la famille LEBON et plus particulièrement de notre bienfaitrice.